La plus grande différence entre un faux empathe et un vrai…

par Au Coeur de l'éveil

Vous avez probablement entendu quelqu’un se qualifier d’empathe et se décrire comme trop sensible.

Mais la plupart des gens qui utilisent ce terme ne sont que des abrutis qui se cachent derrière la terminologie.

Ils ont été blessés à un moment de leur vie (comme nous tous) et ils essaient de justifier leur faiblesse en se cachant derrière ce terme. C’est comme leur bouclier.

Ils sont à l’abri de se remettre en question parce qu’ils se sont identifiés à être un « empathe » – quelqu’un qui ressent trop et qui est là pour aider le monde avec ses émotions, parce que tout le monde le ruine. C’est du moins ce qu’ils en font.

Ne vous méprenez pas, il y a de vrais empathes qui ont un déséquilibre psychochimique et réagissent au monde extérieur avec plus de sensibilité que les autres.

Parce que leurs émotions sont une grande partie de leur vie, plus grande que pour les autres personnes, leur intelligence émotionnelle est légèrement plus élevée.

Ce n’est pas quelque chose qu’ils portent sur leur front, disant à tous ceux qu’ils rencontrent qu’ils sont des empathes. Tout comme une personne atteinte d’un TOC n’ouvre pas une conversation avec “parce que je suis trop intelligent et que je vois des modèles partout…”

Peu importe si vous voyez des schémas que les autres ne voient pas, si vous ressentez trop, si vous ne mangez que des légumes ou si vous aimez méditer. Être une bonne personne est au-delà de cela.

Cela demande d’affronter ses propres démons, de ne pas se cacher d’eux et de les projeter sur le monde.

Et c’est quelque chose que la plupart des gens préfèrent masquer, créant en retour le mauvais monde dont ils blâment tout le monde.

Empathe : Une personne qui a un degré élevé de sensibilité et d’attention aux sentiments des autres, au point que cela peut devenir un problème. Si votre client est parfois attristé par des publicités sur des animaux abandonnés ou des enfants affamés, c’est parce qu’ils ont un super pouvoir unique et merveilleux. Veuillez noter que l’un des signes les plus courants indiquant que votre client est un empathe est qu’il est très sensible à la flatterie.

Sociopathe : Toute personne qui blesse les sentiments d’un empathe, en particulier dans le cadre d’une relation amoureuse. Les exemples incluent quelqu’un qui oublie un anniversaire, laisse le siège des toilettes dans la mauvaise position, oublie de prendre quelque chose au magasin ou doit se faire dire de prendre quelque chose au magasin.

Psychopathe: Toute personne qui blesse les sentiments d’un empathe, en particulier dans le cadre de la rupture d’une relation amoureuse. Les symptômes incluent avoir des goûts différents pour les films, la télévision ou la musique par rapport à un empathe, ou oublier de prendre quelque chose au magasin deux fois de suite.

Narcissique : Une personne dont ils s’occupent qui ne leur accorde pas la même attention et qui est plus concentrée sur elle-même. Une simple interaction avec eux est émotionnellement épuisante parce que les « empathes » s’investissent trop dans la « relation » en donnant tout à l’autre personne, et ils sont maltraités. L’autre personne pourrait tout simplement ne pas s’en soucier autant ou ne pas ressentir la même chose.

Attentionné et concerné : Ce que sont les empathes lorsqu’ils expriment des sentiments négatifs.

Rageaholic : Ce que sont les sociopathes, les narcissiques ou les psychopathes lorsqu’ils expriment leurs sentiments négatifs à un empathe.

Enfant Indigo : La progéniture d’un empathe. Une âme évoluée qui s’exprime librement et n’aime pas être disciplinée.

Enfant démon: La progéniture d’un sociopathe, d’un narcissique ou d’un psychopathe. Peut occasionnellement exiger de la discipline. Intrinsèquement inférieur à un enfant indigo à tous points de vue.

Âme soeur: Cette personne avec qui tu as eu trois très bons rendez-vous.

Flamme Jumelle : Cette même personne après avoir été dans une bonne relation pendant trois mois.

Satan incarné : Cette même personne après avoir vécu avec elle pendant six mois.

« Je suis un être humain comme tout le monde. Je me fiche de qui vous êtes, si vous êtes une bonne personne, je vous aimerai. Si vous ne l’êtes pas, je ne vous aimerai pas. Mais chaque être vivant mérite le respect, même ceux que vous détestez le plus.

Tu as parfaitement le droit dans le monde entier de ne pas m’aimer, tout comme j’ai parfaitement le droit dans le monde entier de ne pas t’aimer. Je n’ai pas besoin de te juger, mais parfois je le ferai, et c’est mon problème.

Je sais que tu n’es qu’un humain au fond de toi, troublant d’affronter tes propres démons. Nous le faisons tous parfois. Nous avons tous des défauts. Et parfois on peut s’entendre, et ce serait un bon moment. Au fond de nous, derrière tout ce bavardage et toutes ces couches, nous nous aimons tous. C’est pourquoi nous nous soucions.

Le monde n’a pas besoin d’être sauvé. Nous devons apprendre à vivre les uns avec les autres. Autant que je sache, le monde est bien pour tous les autres êtres vivants, sauf nous. Alors peut-être qu’il y a quelque chose qui ne va pas dans notre façon de voir le monde, peut-être que ce sont nos propres démons qui nous trompent.

Et oui… je suis un peu sensible et je perçois les choses plus avec le cœur que les autres. C’est mon cheval, vous n’avez pas à vous en soucier. J’apprends à le monter.

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